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Sandrine Pierrefeu
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La matelote et les funambules
Sandrine Pierrefeu
- Glénat
- Hommes Et Oceans
- 17 Avril 2024
- 9782344062425
Un texte enlevé et drôle, entre livre de mer, récit de voyage et huis clos, raconté par une femme marin.
La matelote et les funambules est un récit de navigation, d'aventure et d'initiation croisée entre des marins et des alpinistes artistes et acrobates. Embarquées pour trois mois de voyage en voilier vers le Groenland, ces dix personnes se découvrent au fil des jours et des nuits de quarts, des grands calmes et des coups de chien. Ignorant tout des choses de la mer, les funambules s'étonnent et se rebiffent. Débusqués dans leurs habitudes et leurs évidences, les marins s'agacent de leurs bévues et de leurs manquements à l'étiquette maritime.
Tout en traversant un océan malcommode, marins et passagers tentent de se comprendre et de vivre ensemble. Une fois au nord de l'Atlantique, Orion, leur destrier, se transforme en ruche à partir de laquelle l'improbable équipage explore le continent blanc et organise des spectacles dans les communautés inuits où il relâche.
Les marins deviennent alors les élèves des musiciens et des montagnards. À l'école des sommets, à leur tour, ils s'étonnent et se cabrent.
Entre émerveillement, poésie et amitié, l'élan des uns infuse l'allant des autres. Au retour, pour chacun, c'est certain, les lignes auront bougé. -
Blue, la sirène rondelette
Sandrine Pierrefeu, Manon Beaumont
- Beluga
- 13 Septembre 2024
- 9782371333512
Elle s'appelle Blue, mais tout le monde la surnomme « Dodue », ce qui la fait souvent pleurer en cachette. Elle est brune et replète, Blue. Rondelette. Rebondie. Bref, ventrue. Et chez les sirènes, ça ne s'est jamais vu?! La petite sirène décide alors de se mettre au régime. Mais, tandis que le ventre rond fond, la tristesse grandit. Vouloir plaire et ressembler aux autres à tout prix, est-ce vraiment ce dont elle a envie??
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Brest : Fêtes maritimes et aventures humaines
Sandrine Pierrefeu, Violaine Pondard, Mélanie Joubert
- Le Parapluie Jaune
- 16 Mai 2024
- 9782493513045
La ville de Brest, à la pointe du Finistère, regarde la mer depuis son port. Un port qui s'anime tous les quatre ans à l'occasion des Fêtes maritimes : un rendez-vous attendu qui célèbre la mer et les bateaux !
Personne n'aurait pu prévoir le succès grandissant des Fêtes maritimes depuis la première édition, en 1980, sur les rives de Logonna-Daoulas... Tous les ingrédients étaient pourtant déjà réunis : chaleur humaine, transmission des savoirs, mise à l'honneur du patrimoine maritime d'ici et d'ailleurs. Un brin de magie a soufflé sur les côtes bretonnes.
Les Fêtes maritimes sont aujourd'hui un emblème fort de Brest : elles expriment l'intérêt grandissant de la ville pour la mer, elles réunissent les Brestois et Brestoises autour d'un projet commun et festif, elles démontrent l'excellence maritime de la pointe bretonne.
Cette manifestation internationale regroupe des bateaux d'hier, d'aujourd'hui et de demain : bateaux du patrimoine, flottilles traditionnelles, étrangères, navires d'État, belle plaisance, bateaux de course au large et bateaux scientifiques.
Les autrices Sandrine Pierrefeu et Violaine Pondard donnent la parole aux acteurs et actrices de ces fêtes, à ceux et celles qui les ont construites, et aux personnes qui continuent de les faire vivre : passionnés de tous horizons, marins, artistes, Brestois et Brestoises, dockers, entreprises, politiques et célébrités.
Ici la magie jamais ne cesse... -
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L'Hermione ; retour aux Amériques
Yann Cariou, Sandrine Pierrefeu
- Editions De Monza
- 5 Novembre 2015
- 9782916231402
Le voyage en Amérique Le voyage en Amérique de l'Hermione est un événement à plusieurs titres :
- Il concrétise l'aboutissement du rêve insensé de reconstruire une frégate du XVIIIe siècle, sans avoir eu au départ les moyens de l'entreprendre.
- Il s'inscrit comme symbole d'un grand moment de l'histoire des Etats-Unis : l'accession à son indépendance, au service de laquelle la France, par l'intermédiaire de Lafayette, a joué un rôle important.
- Il célèbre une amitié de plus de deux siècles entre la France et les Etats-Unis Les constructeurs de l'Hermione ont conçus la frégate au plus près des réalités historiques. Cela se traduit dans les structures du bateau, ses équipements, ses modes de navigation et l'organisation de ses équipages.
A l'instar de La Touche Trévise, un journal de bord Soucieux d'être totalement conforme à l'histoire il nous est apparu nécessaire, à l'instar du Lieutenant de Vaisseau Henri de la Touche Trévise, de laisser également une trace de cet événement que constitue le « grand retour aux Amériques » sous la forme d'un journal de bord. Il convient de rappeler que sans le journal de La Touche Trévise il n'aurait pas été possible de reconstituer l'épopée américaine de l'Hermione.
Deux auteurs expérimentés.
C'est ainsi qu'il a été proposé à Yann Cariou, commandant de l'Hermione, l'un des meilleurs connaisseurs en France des grands voiliers, de tenir un journal de bord. Au cours des discussions pour préciser le projet s'est dessiné une démarche originale : mettre en confrontation le récit d'un commandant très expérimenté avec celui d'une gabière, riche de sa passion de la mer. Cette dernière, Sandrine Pierrefeu, navigatrice de longue date, est journaliste à Chasse Marée et auteur de plusieurs livres sur la mer.
Conception des textes Ce journal sera nécessairement composite. Il devra à la fois :
- Rendre compte des différentes phases de navigation (météorologiques, manoeuvres, etc.) - Faire référence au passé (ce qui se pratiquait au 18e siècle par rapport à aujourd'hui) - Relater le vécu, le ressenti, les faits, les anecdotes, les moments forts.
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Partir 66° Nord ; chroniques d'une apprentie capitaine
Sandrine Pierrefeu
- Glenat
- Hommes Et Oceans
- 4 Mars 2020
- 9782344040553
Partir ! Plein nord, entre Islande et Groenland... C'est là que Sandrine Pierrefeu a choisi de faire ses premiers pas de capitaine. Trois mois d'aventure qu'elle livre dans un récit plein d'humour et de poésie.« Ils ont l'air de mauvais poil, les glaçons. Ils halètent, soufflent, plongent et ressortent, tout dégoûtants et si puissants. "On va mourir ?" demande un passager livide. J'aurais bien fait demi-tour et contourné ce manège à manger les bateaux si nous n'avions avec nous cette tigresse de Teresa. »Moitié chronique locale, moitié carnet de mer, Partir 66° Nord évoque un nord drôle, rugueux et tendre à la fois. À bord des voiliers Arktika et Aurora, aux côtés de Siggy, le « Père Noël » armateur et de Sandrine, aux prises avec son nouveau métier de capitaine, on navigue, bonnet capelé, du quotidien des Westfjords islandais aux tempêtes de sable sur l'île volcan Jan Mayen, jusque dans les communautés inuits de la côte est du Groenland.Sandrine Pierrefeu raconte ici trois mois de voile entre l'Islande et le Groenland sur des bateaux islandais. Ou comment elle parvient à survivre au jour perpétuel, au régime ultra-carné, aux moustiques, à l'abstinence et à l'espièglerie mutique des marins nordiques grâce à l'amitié d'une Anglaise apprentie Inuit, aux bains glacés, à l'infusion citron gingembre et à l'époustouflante beauté des lieux. Mise en bouche :On dirait qu'une tornade est passée sur Aurora. Le sol est couvert de miettes et de papiers froissés. Les coffres sont ouverts. Des outils, des canettes et des boîtes de biscuits traînent partout. Les cabines passagers sont en vrac, la moquette bleue pleine de plumes (les duvets et les doudounes des clients en laissent partout), de cheveux, de débris. Quand il retrouve la parole après son second café, le skipper, amical mais comme lassé d'avance, lâche : « Pour apprendre à connaître un bateau, la meilleure manière, c'est de le nettoyer de fond en comble. L'aspirateur est là. Les produits ménagers et les gants ici. Il y a à manger dans le frigo, sers-toi et jette ce qui n'est plus bon. J'ai à faire en ville. »Minute ! Nous allons vivre deux mois ensemble. Nous partons dans quatre jours avec des clients dont nous avons la responsabilité, dans un coin mal famé de l'océan glacial Arctique et il me lâche ? J'ai un milliard de questions. Il est à demi dehors quand je retrouve mon souffle et réussis à lui demander où trouver le moteur. Pourquoi le moteur ? Aucune idée mais l'information, d'un coup, me paraît vitale.
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La « Vache à Thépaut », enfermée dans une bouée, crie pour guider les navires. Les questions se bousculent dans la tête de Jules : qui va lui donner à manger ? Combien de temps restent-elle prisonnières ? Comment choisit-on les vaches marines ? De quiproquos en grosses colères, Jules découvre finalement qu'il n'y a ni veau ni vache dans les tonneaux, malgré la « corne » qui meugle...